A 35 minutes du Touquet et 2 heures de Paris.

Illustration géographique de la situation de la pension pour chevaux au nord de la Baie de Somme.

Qui sommes-nous ?

Issue d’un milieu agricole et d’une famille d’éleveurs de chevaux de CSO, j’ai grandi entourée de chevaux. J’ai appris à monter à six ans sur mon shetland Flicka, tout juste débourré. Depuis, Galop 7 en poche, cette passion ne m’a jamais quittée.

Notre Domaine

Implantés sur 12 hectares, nous disposons de 10 pâtures naturelles, sans apport d’azote. L’eau provient de deux forages.
Certaines zones bénéficient d’ombrage pour l’été, et nous utilisons un piège à taon afin de limiter la présence des mouches et taon.
Nos râteliers à foin sont des modèles spécifiques pour chevaux, afin d’éviter toute blessure — jamais des modèles pour bovins.
Les clôtures, quant à elles, sont constituées de cordelettes électrifiées, sans barbelés.

Dans nos paddocks, nous récupérons l’eau de pluie des aris pour alimenter en eau les abreuvoirs. Nous produisons l’essentiel de notre foin sur nos propres pâtures, et la paille provient des agriculteurs du village

Nous faisons l’essentiel de notre foin dans nos pâtures. La paille provient des agriculteurs du village.

Tous nos box sont orientés Est, ce qui permet d’avoir le soleil levant et d’être à l’abri des vents dominants (Ouest, Sud-Ouest). Chaque box est équipé d’un râtelier à foin, d’un support bloc de sel et d’une mangeoire en béton. Les murs sont blanchis à la chaux.

Chaque cheval fait l’objet d’une attention particulière :

Depuis l’arrivée de notre premier pensionnaire en 2014, nous privilégions une structure à taille humaine, capable d’accueillir jusqu’à 12 chevaux retraités. Ce choix garantit un suivi attentif et évite la surcharge des pâtures.
Chaque cheval reçoit la même attention, qu’il nous appartienne ou soit pensionnaire. Aucun cheval n’est seul au pré : les binômes sont constitués selon le caractère et les besoins de chacun.

Nous prenons en compte les particularités individuelles : sensibilité à l’humidité, aux tiques, ou fragilité des sabots. Lors des mues d’automne et de printemps, un pansage occasionnel aide à éliminer l’excès de poils.

Les soins:

  • Maréchalerie : un maréchal intervient selon les besoins pour les parages.
  • Vermifuge : deux fois par an avec un vermifuge complet à l’automne.
  • Soins des pieds : curage quotidien en hiver, graissage en été pour prévenir les fissures.
  • Soin des dents : Un dentiste passe chaque année selon les besoins.
  • Une ostéopathe peut également intervenir.
  • Deux cliniques vétérinaires spécialisées en équin se trouvent à proximité : l’une à 10 minutes, l’autre à 35 minutes.

Le rythme de l’année

Printemps, été, début de l’automne :

Les chevaux vivent en pâture jusqu’à fin octobre ou début novembre, selon la météo et l’état des sols. Ils s’alimentent principalement d’herbe, leur nourriture naturelle.

Un appoint en foin dès septembre est parfois nécessaire.

L’hiver et une partie de l’automne :

Certains chevaux rentrent au box chaque soir (ou toute la journée en cas de mauvais temps). Le reste du temps, ils profitent du paddock avec foin à volonté.

D’autres sont en paddock avec des abris de 2fois 3mx4m et foin à volonté.

S’ils en disposent, ils portent une chemise d’extérieur imperméable : le froid ne les dérange pas, mais l’humidité oui.

Chaque cheval reçoit un complément alimentaire fourrage Twenty Horse Pack, un aliment fibreux mélassé non énergétique. Il favorise le transit, encourage la mastication et maintient une bonne condition physique accompagné par fois en plus d’un aliment complet floconné selon les besoins.
Chaque box dispose également d’une pierre à sel, et, sur demande, des compléments personnalisés (soja, aliments spécifiques…) peuvent être administrés.

Encadrement administratif

Un contrat de pension et une décharge de soins sont signés entre le propriétaire du cheval et la SARL Le Haut Broutel. Ces documents sont disponibles sur simple demande.


Un renseignement ? Situer notre pension pour chevaux :